1993, 1995, 2003, 2007, 2010, et maintenant 2013 : les gouvernements
successifs s’acharnent contre notre système de retraite, satisfaisant
ainsi les revendications patronales. Leur volonté permanente est de
brader les acquis sociaux, gagnés grâce aux luttes syndicales passées.
Le nouveau projet de loi sera présenté début septembre, mais nous
connaissons déjà son orientation : faire payer les salarié-es, les
chômeurs-ses, les retraité-es, les jeunes en formation.